Points d’acupuncture et acupuncture photonique, c’est quoi ?

L’acupuncture constitue le cœur de la médecine traditionnelle chinoise. En France, cette médecine naturelle fait partie des rares médecines alternatives reconnues par les autorités médicales, grâce à son efficacité et son innocuité. Si l’acupuncture s’est d’abord développée de manière empirique, son étude n’a cessé ensuite de progresser, afin de mieux comprendre ses mécanismes, dans un cheminement scientifique rappelant l’histoire de la photothérapie. Cette évolution permet à tout acupuncteur de proposer désormais des solutions techniques de plus en plus performantes comme l’électropuncture, ou encore l’acupuncture photonique, dérivée de la biophotothérapie.

Les points d’acupuncture : définition et localisation.

L’acupuncture consiste à stimuler des points d’énergie corporels, dans un but thérapeutique de rééquilibration des champs énergétiques. Dans sa forme traditionnelle, cette stimulation se fait soit mécaniquement avec des aiguilles d’acupuncture soit par moxibustion, c’est-à-dire à l’aide d’armoise chauffée. Mais de nouvelles techniques sont apparues ces dernières années, comme l’électropuncture ou l’acupuncture photonique, remplaçant les aiguilles par une source d’énergie électromagnétique.

Les points d’acupuncture pour la médecine chinoise : méridiens et 8 points.

Pour le médecin acupuncteur, tout organisme s’organise autour de la prééminence de 8 points maîtres, appelés aussi points merveilleux. Ils commandent les 51 points des lignes médianes qui régissent eux-mêmes les 365 points du corps. Ces points sont situés le long de tracés énergétiques qui parcourent l’ensemble du corps et qui forment un réseau complexe : les méridiens.

Il faut les voir comme des canaux de communication et de distribution du sang et de l’énergie, reliant les différents organes et régions anatomiques. En stimulant tel ou tel point d’acupuncture, le professionnel peut ainsi modifier ce transfert d’énergie : concentration dans certaines zones, augmentation ou baisse du débit, dérivation vers une autre zone pour rééquilibrer… C’est ce qui explique les nombreux bienfaits de l’acupuncture, que ce soit pour l’entretien de la santé, pour soulager les douleurs ou pour le traitement de certaines affections chroniques.

Les points d’acupuncture pour l’électro-physiologiste.

Longtemps niée par la science, la notion de bio-champs électromagnétiques générés par nos tissus est aujourd’hui largement reconnue, et utilisée à des fins thérapeutiques ou diagnostiques. Électrocardiogramme, encéphalogramme ou encore électromyogramme, basés sur l’enregistrement de micro-courants électriques, en sont des exemples concrets.

Au niveau cellulaire, les phénomènes de dépolarisation membranaire par échanges ioniques génèrent une différence de potentiel électrique, appelée Bio-DDP. C’est ainsi que la peau, avec ses différents tissus (épiderme, derme, hypoderme), génère un effet pile constant pour l’épiderme de -40mV, tissu non vascularisé, mais variable pour les tissus dermiques et hypodermiques, vascularisés.

L’analyse électrique cutanée des points d’acupuncture prouve en effet l’existence de caractéristiques spécifiques, comparativement aux autres points placés en dehors de ces mêmes méridiens.

Les points d’acupuncture pour l’histologiste : la notion anatomique et les magnétosomes.

Les premiers travaux pour étudier la structure microscopique des points d’acupuncture ont été menés à la faculté de Médecine de Montpellier dans les années 1970, sous la direction du Pr Jean Bossy, anatomiste de renom. Ils ont ainsi prouvé que 2/3 des points d’acupuncture se présentent sous forme « de cheminées de tissu conjonctif en rapport avec un élément nerveux » (corpuscules de Messmer ou de Pacini, amas de tissus vasculo-nerveux en pelote ‘glomus’, terminaisons de fibres nerveuses…).

Par la suite, d’autres méthodes ont permis de prouver la différence structurelle et biologique entre les points d’acupuncture associés aux méridiens, et des points non-acupuncture : mesures de conductivité, plus élevée au niveau des points que sur le reste de la peau, photographie thermique à cristaux liquides, échographie, IRM, imagerie infrarouge… Ces techniques dernier-cri sont venues ainsi confirmer des siècles de connaissances empiriques.

D’autres travaux réalisés avec une coloration histologique spécifique du fer (coloration de Perls) semblent confirmer la présence de particules magnétiques spécifiques au niveau des points ; les magnétosomes. Il s’agit de cristaux de magnétite (Fe3O4) se présentant sous forme de cubes de 500 angströms de côté. Largement étudiés chez les animaux (oiseaux migrateurs, dauphins…), les magnétosomes humains pourraient intervenir à la manière de condensateurs électriques ou de réserves de coenzymes métalliques, nécessaires au fonctionnement de nombreuses enzymes. L’aiguille d’acupuncture aurait ainsi la propriété de les stimuler électro-magnétiquement : leur retrait produirait ensuite la dispersion des micros courants électro-ioniques ou électromagnétiques emmagasinés. Ces nombreux travaux et recherches ont prouvé l’existence de caractéristiques particulières anatomiques, neuro-vasculaires et électro-chimiques des points d’acupuncture, mais ils ne permettent pas d’expliquer comment un tel réseau peut gérer des niveaux de communications biologiques aussi complexes et multiples.

Les recherches en photonique apportent de nouvelles réponses à ces questions et permettent d’envisager le réseau des méridiens comme un réseau photonique très élaboré.

Comment fonctionne l’acupuncture photonique ?

Les travaux récents en médecine quantique ont prouvé que chaque tissu avait la propriété de générer des photons, appelés biophotons : ces derniers participent à la création des champs électro-magnétiques naturels de l’organisme, appelés encore biofields.

Comment fonctionne une aiguille d’acupuncture traditionnelle ?

L’acupuncture traditionnelle a longtemps reposé sur l’utilisation d’aiguilles en différents métaux, comme l’or, l’argent, le fer, le zinc, le cuivre, le molybdène ou le cobalt. Aujourd’hui, elles sont le plus souvent en acier inoxydable.

Schématiquement, l’implantation d’une aiguille sur un point d’acupuncture génère deux composantes énergétiques :

  • une composante thermoélectrique, résultant du déplacement d’électrons vers la partie chaude du conducteur métallique, créant un point de potentiel positif sur la pointe de l’aiguille en mode dispersion, et une polarité négative en mode tonification;
  • une composante magnétique, découlant directement du champ magnétique terrestre traversant nos tissus, indispensable au fonctionnement cellulaire comme l’ont prouvé les études de la NASA chez les astronautes.

Du méridien de la médecine chinoise au méridien de la médecine photonique.

Les connaissances accrues du rôle de la lumière sur nos cellules et les propriétés optiques de nos tissus ont poussé des chercheurs à remplacer les aiguilles métalliques par une source d’énergie lumineuse, sous forme de photons.

Les travaux de Cohen et Popp (2003) sur les biophotons ont permis en effet de révéler l’existence d’un circuit d’ « information lumineuse » dans notre corps, utilisant les propriétés physiques des tissus conjonctifs : sa composition cristalline fluide offre un réseau supraconducteur très rapide et étendu à tout l’organisme.

Lors de ces expérimentations le Dr LOONES a choisi une lumière 100% naturelle et sans danger, la LMPC ou lumière monochromatique polarisée circulaire. Pour lui, le point d’acupuncture jouerait le rôle de matrice cristalline (oscillateur) permettant à une lumière polarisée circulaire de se transformer en vortex opto-électronique générant des signaux électriques, pouvant être transmis à l’ensemble du corps, grâce à un réseau complexe d’eau et de molécules chirales, jouant le rôle de fibres optiques biologiques : le réseau photonique.

Une étude sur le traitement par acupuncture de l’anisotension artérielle des membres supérieurs a ainsi prouvé, entre autres exemples, la supériorité de l’acupuncture photonique sur l’acupuncture par aiguilles traditionnelles.

Lors de ces expérimentations le Dr LOONES a choisi une lumière 100% naturelle et sans danger, la LMPC ou lumière monochromatique polarisée circulaire. Pour lui, le point d’acupuncture jouerait le rôle de matrice cristalline (oscillateur) permettant à une lumière polarisée circulaire de se transformer en vortex opto-électronique générant des signaux électriques, pouvant être transmis à l’ensemble du corps, grâce à un réseau complexe d’eau et de molécules chirales, jouant le rôle de fibres optiques biologiques : le réseau photonique.

Une étude sur le traitement par acupuncture de l’anisotension artérielle des membres supérieurs a ainsi prouvé, entre autres exemples, la supériorité de l’acupuncture photonique sur l’acupuncture par aiguilles traditionnelles.

Acupuncture photonique et lumière LMPC, une révolution thérapeutique ?

L’acupuncture photonique consiste à cibler un point d’acupuncture avec un rayon lumineux adéquat. Cette stimulation du point d’acupuncture par une longueur d’onde choisie permet de potentialiser l’effet global du traitement de photothérapie.

En considérant le point d’acupuncture comme un oscillateur, et les méridiens comme des fibres optiques biologiques, le choix de la lumière à appliquer sur ces points est déterminé par sa capacité à pouvoir transmettre de l’information sans déformation ni altération. La physique des ondes connait très bien ce problème et la meilleure performance est obtenue par une lumière laser (monochromatique) polarisée circulaire.

Pour obtenir une telle lumière, il faut tout d’abord décomposer la lumière visible en différents rayonnements monochromatiques, puis la polariser et la faire passer au travers d’une lame, dite quart d’onde, pour la rendre circulaire. Selon le sens de propagation circulaire de la lumière, dextrogyre (droit) ou lévogyre (gauche) les signaux transmis seront de potentiels bioélectroniques différents, tout comme les effets biologiques. Transmises au réseau photonique la lumière monochromatique polarisée circulaire (LMPC) dextrogyre semble être de type régulateur et potentialise la recharge énergétique (antioxydante) tandis que la LMPC en mode lévogyre semble être de type catalyseur et potentialise la consommation énergétique (oxygène et électrons).

Cette utilisation de la LMPC en acupuncture prouve son effet thérapeutique soit par les études cliniques, soit par la mesure des données électriques. Les avantages de la thérapie photonique par acupuncture s’avèrent évidents : en transmettant des signaux bioélectroniques identifiés et choisis, l’acupuncture LMPC donne accès à la cybernétique biologique des méridiens photoniques.

En délivrant une quantité d’énergie donnée et modulable, l’acupuncture photonique s’avère plus précise et plus performante ;
Grâce à la lumière naturelle, l’acupuncture LMPC garantit une innocuité parfaite, sans le moindre risque traumatique ni infectieux. Le caractère indolore et non invasif de la lumière monochromatique polarisée circulaire offre, au final, une séance plus agréable et plus relaxante.
En combinant donc l’efficacité de l’acupuncture traditionnelle et de la bio photothérapie, l’acupuncture photonique LMPC offre une nouvelle approche, plus efficace, plus scientifique, plus confortable, avec un meilleur rapport qualité / prix.

 

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