FAQ

NON

Le laser est une lumière amplifiée par émission stimulée de rayonnement ; c’est une lumière cohérente, c’est-à-dire que tous les photons sont en phase ; de ce fait, le laser peut transporter et concentrer une quantité très importante d’énergie lumineuse, il peut donc être potentiellement dangereux.
Malgré ses très nombreuses possibilités, le laser est une lumière produite par l’Homme ; ce n’est pas une lumière naturelle,
il n’existe pas dans la nature !

La LMPC 97+ reproduit la lumière polarisée circulaire qui nous parvient sur terre ; c’est une lumière naturelle, produite par la nature. Elle n’a aucun mécanisme d’action similaire au laser, elle ne peut ni couper, ni détruire, ni brûler, ni opérer. L’onde circulaire porteuse de l’information biologique et thérapeutique est de faible niveau énergétique et elle est en parfaite adéquation avec nos systèmes biologiques.

NON

La lumière pulsée est une lumière « classique », polychromatique, comme celle produite par une grosse ampoule, mais de plus haute énergie: selon sa puissance, sa couleur et le nombre de « flash », c’est une lumière qui chauffe ou qui « brûle » !
C’est d’ailleurs pour ses effets thermiques qu’elle est essentiellement utilisée pour l’épilation, par destruction du poil et du bulbe, et pour le photorajeunissement, en dégradant par « chauffage » le collagène pour stimuler la production de néocollagène.

La LMPC97+ est une lumière de basse puissance ; elle n’a aucun effet thermique direct et ne peut pas provoquer de brûlure, ni de destruction des tissus. Son mode d’action est physiologique, elle stimule tous les mécanismes biologiques « anti-âge » notamment la synthèse de collagène ou d’élastine.
La LMPC97 + n’est pas restreinte dans l’utilisation des couleurs ; elle n’est donc pas limitée à quelques applications, mais offre au contraire des possibilités de soins multiples.

NON

La luminothérapie consiste à s’exposer à une lumière blanche artificielle, imitant celle du soleil, mais sans UV ni Infra-rouges, pour stimuler la production de mélatonine par voie visuelle afin de réguler les troubles de l’horloge interne responsables de certaines dépressions saisonnières, causées par le manque de lumière naturelle en Hiver.
Aujourd’hui, la Luminothérapie est devenue un terme plus générique, et ne concerne plus seulement le traitement des dépressions saisonnières, mais plutôt tout ce qui concerne l’utilisation de la lumière comme moyen de soin ou de traitement.

La LMPC97+ n’est donc pas de la Luminothérapie au sens premier du terme, puisqu’elle ne consiste pas à se placer devant une source de lumière blanche pour stimuler la production de mélatonine, et n’est pas seulement indiquée pour les dépressions saisonnières. La LMPC97+ utilise différentes longueurs d’onde que l’on projette sur les zones du corps ou sur les points des méridiens d’acupuncture et son mécanisme d’action n’est pas seulement la production de mélatonine, mais concerne tous les processus physiologiques de notre équilibre biologique, y compris nos horloges internes.

OUI, au sens générique du terme.

Toute thérapie utilisant la lumière ou des couleurs fait partie de la famille des photothérapies, ou de la chromothérapie.
Il existe aussi la photothérapie dynamique, utilisée en médecine, pour le traitement de certaines lésions précancéreuses ou cancéreuses. Toutes ces lumières, sont soit diffuses (comme les ampoules classiques) d’une seule couleur (monochromatiques) ou de plusieurs couleurs (polychromatiques) soit polarisées rectilignes. Toutes les ondes émises sont dans un seul plan de l’espace, en « 2D ».

Contrairement à toutes ces lumières, la LMPC97+ est une lumière polarisée circulaire, c’est la seule et unique lumière en 3D. La seule qui puisse revendiquer une action de « clé-serrure » (stéréochimie), la seule qui puisse revendiquer des propriétés chirales (asymétrie des molécules) qui sont les principes même de l’origine du vivant. C’est la différence fondamentale.

NON

Les ondes scalaires sont des ondes qui se propagent en vortex, contrairement aux ondes électromagnétiques (dont la lumière) qui se propagent en sinusoïdes. Les ondes scalaires existent dans la nature, ce sont même les plus abondantes et elles proviennent de tout notre environnement : du cosmos, des planètes, des étoiles, de la terre, des roches, des arbres, des êtres vivants.
Les ondes scalaires agissent par résonance entre la source émettrice et le récepteur ; leurs effets bénéfiques ou thérapeutiques se font par « transferts » d’informations vers la personne placée entre eux : un peu comme quand on fait un transfert de données entre 2 téléphones par wifi, mais ici c’est la personne qui reçoit « passivement » les données envoyées. De ce fait, les ondes scalaires, en elles-mêmes ne guérissent pas.

Contrairement aux ondes scalaires, la LMPC97+ possède en elle un potentiel thérapeutique intrinsèque, codé sous forme de potentiels bioélectroniques. En interagissant avec le point d’acupuncture, le transfert des informations se fait par transformation de l’onde circulaire lumineuse en un vortex optoélectronique, qui va ensuite pouvoir diffuser les signaux dans les réseaux énergétiques, vers les récepteurs cibles ; la qualité de résonance et de cohérence est ici donnée par une circularité de 97 % minimum et par la haute précision fréquentielle (très faible bande passante) des différentes couleurs.
Ainsi dans le « cocktail » de toutes les ondes extérieures que nous recevons, la polarisation circulaire apparaît comme le moyen le plus efficace de transmettre les informations dont les systèmes vivants ont besoin, et ce sans risque de « pollution » ou d’interférence avec les autres signaux extérieurs.

C’est avant tout par le type de lumière utilisée. Dans la technologie LMPC97+ il s’agit d’une lumière polarisée circulaire. À notre connaissance, il n’existe aucune autre méthode de photothérapie ou de chromothérapie qui utilise ce type de lumière polarisée circulaire.

Ces procédés de lumière visible utilisée en photothérapie, chromothérapie sont limités dans leurs applications par leur faible pénétration dans les tissus biologiques qui ne vont pas au-delà de 2mm. Seuls les rayonnements de la région du rouge et du proche infrarouge situés entre 700 et 1000 nm, peuvent pénétrer au-delà du centimètre. C’est en effet dans cette zone du spectre que l’absorption globale des tissus biologiques est minimale ; elle est encore appelée fenêtre thérapeutique. Hors fenêtre thérapeutique, les rayonnements lumineux sont fortement absorbés et très faiblement diffusés par les tissus, ce qui les empêche de pénétrer en profondeur. Ces propriétés d’absorption et de diffusion s’expliquent principalement par la composition et les propriétés magnéto-optiques des tissus biologiques.

Les milieux biologiques sont constitués d’un grand nombre de structures, de taille et de formes différentes qui empêchent la lumière de se propager en ligne droite et limitent ainsi sa pénétration en profondeur. Après expérimentation la lumière monochromatique polarisée circulaire (LMPC) de basse énergie semblerait être la seule forme de lumière possédant des propriétés magnéto-optiques, avec composante rotatoire, lui permettant de pénétrer en profondeur dans les tissus biologiques.

Les expérimentations réalisées sur des cultures de peaux ex vivo, (GREDECO-la Salpêtrière-Paris) montrent, entre autres, que la lumière polarisée circulaire favorise une organisation spatiale, en « 3D » des composants biologiques. Si les autres types de lumière apportent de l’énergie utilisable par la cellule, comme pour la photosynthèse des plantes, elles ne semblent pas avoir cette propriété d’organisation tridimensionnelle au niveau des tissus biologiques.

C’est une différence également fondamentale, car cette organisation structurelle « en 3 D » permet la dynamique fonctionnelle des molécules biologiques et elle s’exprime par la chiralité.

La chiralité est une signature du monde vivant, ce qu’avait pressenti Pasteur puisqu’il énonça en 1883 : « la vie est dominée par des actions dissymétriques dont nous pressentons l’existence enveloppante et cosmique. Je pressens même que toutes les espèces vivantes sont primordialement, dans leur structure, dans leurs formes extérieures, des fonctions de la dissymétrie cosmique ».

Nous savons aujourd’hui que la seule forme de lumière visible capable d’interagir avec la chiralité est la lumière polarisée circulaire.

Nous pouvons donc avancer que la lumière polarisée circulaire est la forme de lumière utilisée par les systèmes vivants pour réguler et organiser tous les rouages de leur physiologie et biologie.